Écuyer français(1811-1897) héritier d'une longue tradition familiale du cirque. L'association de son père avec Pellier et Baucher avait permis au jeune Victor Franconi de bénéficier de l'enseignement classique et de la nouvelle école. Fondateur de l'hippodrome et des arènes du Champ de Mars, directeur des cirques d'hiver et d'été, il publiera son premier livre Le Cavalier en 1855 (manuel de formation du cavalier) ; et cinq ans plus tard, l'Écuyer (manuel de ceux qui instruisent les chevaux). Deux ouvrages qu'il réunira en 1891, sous le titre Le Cavalier et l'Écuyer. Jusqu'à la fin de sa vie, Victor Franconi formera les grandes étoiles de l'équitation de spectacle. Convaincu que les "anciens principes sont les meilleurs", l'auteur expose les fondements de la bonne équitation en se démarquant des deux courants de l'époque : le bauchérisme et le daurisme. La première partie, Le Cavalier, insiste sur la nécessité d'être capable d'exécuter parfaitement les leçons simples, rappelant l'importance de la bonne locomotion et de l'équilibre qui résultent de l'emploi d'aides justes et bien placées. C'est à l'homme de cheval suffisamment habile que s'adresse la seconde partie, L'Écuyer : elle traite du dressage du cheval qui permet de le transformer, même craintif et raide, en cheval souple, élastique et élégant dans ses allures. C'est un des rares écuyers français exprimant à cette époque des conceptions conformes à l'École française classique.
L’autore, erede della cultura circense, ebbe modo grazie a suo padre, di conoscere gli insegnamenti equestri classici e quelli in voga all metà del 1800: baucherismo e daurismo.
Da questi si distingue rimanendo fedele ai principi più antichi che nella prima parte spiega al cavaliere, mentre nella seconda parte rivolge ai cavalieri così esperti da essere in grado di applicarli in modo da trasformare anche i cavalli più difficili in mansueti ed eleganti.
Direttore del circo d’Estate e d’Inverno, Franconi preparò fino alla fine della sua vita le grandi stelle dell’equitazione dello spettacolo e merita un posto di rilievo dal momento che fu uno dei pochi che a quell’epoca difesero i principi della scuola classica francese